Voilà, c’est le moment, qui me fait tant rêver depuis que j’ai lu les romans de Jack London, le grand nord Canadien. Un territoire immense, grand comme l’Espagne, moins de 35 000 habitants, bien plus d’animaux sauvages et de chiens de traîneaux courant joyeusement à travers les montagnes gelées. Terre sauvage, terre de la ruée vers l’or, terre d’un hiver si long, terre dure, où tellement d’hommes ont perdu la vie en poursuivant leur rêve.